23 juin 2013

Man of Terry H.





Chère Teri  ( oui on se connait elle et moi ). 

Comme je te l'avais annoncé lorsque j'ai su que le reboot était lancé, je suis allé voir Man of Steel ce soir. Tu t'en doutes, j'imagine, j'ai mis beaucoup d'espoir dans cette nouvelle version. Déjà parce que les premières images m'ont énormément parlées, impressionnées, passionnées, ensuite et bien comme le petit S de qui tu sais, l'espoir de voir enfin le film que j'attendais sur mon super héros préféré. Genre raaaaaaaaaaaa il est là, c'est le bon, plus la peine de tenter une nouvelle version, on la tient nom d'une nouille, après tous ces échecs. 

Je passe sur la réalisation, la photo, la musique, les bastons, tu penses bien qu'entre notre petite série et la méga prod "sniders nolan"... c'est aussi comparable que la distance entre la terre et Krypton. ( heu... c'est juste pas la même chose quoi ). 

Juste une chose. Comment ont-ils fait pour  me reconstruire Métropolis  en deux scènes ? ( lol, comme si c'était possible d'aller aussi vite alors que l'immeuble de 10 étages en face de chez moi se fait ravaler la façade depuis 4 mois. Remarque c'est peut être pas le bon chirurgien... )

Je m'égare, désolé. Bref venons en à ce qui nous intéresse, ton Clark et ma Lois. 

Verdict : 1/0

Alors tu vas être comblé, Henry Carvill est né pour ce rôle ! Il est vraiment parfait. J'ai beaucoup aimé son interprétation tout en force retenue. Evidemment quand il sort de l'eau torse poil, pffff qu'est ce que tu veux faire contre ça ! Type extrêmement charismatique, genre gravure de mode pas con. Fait chier tiens, encore un de plus... 

Concernant Lois maintenant. Alalala mon dieu quel raté. Quand est ce que les scénaristes vont comprendre que ta version était la plus juste, la plus parfaite! On le sait toi et moi bon sang ! le monde le sait ! Lois est aussi nunuche qu'elle est chiante. Mais non, on se retrouve encore avec une journaliste aussi intéressante que Daphnée burki du grand journal et son rire de hyène hystérique. Où est passé ma Lois qui fourre son nez partout, qui se retrouve dans une grosse merdace bien baveuse à pleurer Super S  qui accourt la bouche en coeur pour lui dire : C'est pas grave Loïs, t'inquiète pas, je suis là. Tout va bien se passer. T'as juste foutu la merde, mais je vais tout régler gentillement. Prends ton café en attendant, j'arrive. 

Bon j'avoue je noircis le tableau. Elle n'était pas si mal finalement, juste... heu lui donner un vrais rôle à jouer à mademoiselle Amy Adams aurait été plus intéressant qu'un faire-valoir non ? 

En conclusion, j'ai passé un excellent moment. Juste déçu que le frère Nolan n'est pas plus développé la relation Lois et Clark. Certainement pour le prochain, ce qui en soit est logique. D'abord présenter les protagonistes et ensuite les rapprocher. Bien vu. Bien hâte. Une belle mise en bouche que ce film. 

Héhé je te vois sourire Teri. Comme d'hab dés que l'on parle de toi je m'emballe et je suis super impatient ! Rien a changé en 20 ans ? pfff ouais, tu as raison, désolé. J'espère que tu me pardonneras ce petit défaut. Mais toi et moi nous connaissons intimement la substance de notre relation. non? Alors forcement c'est un peu volcanique à chaque fois que l'on se rencontre. Tu m’excuses hein ? Promis je me tiens à carreau.  

Voilà ma chère Teri. Comme tu vois tu n'as pas été détrôné. Elle n'est pas née celle qui me fera t'oublier ( Et à vrais dire je ne la regarderais même pas de toute façon ). Tu resteras à tout jamais dans mon coeur Terry !

Je t'embrasse princesse et je pense à toi. 

Ludo. "





16 juin 2013

Nan mais en fait...

... je vais arrêter les billets d'humeur déprimants ! ( si si c'est possible )

Nan mais j'ai maaaaaaaaaaaaaaallllllllllllllllll aux dents quoi ! fallait bien trouver un truc, une explication à la con !

mouahaha...

Et en passant, je vous donne le moyen de choisir un melon. Sérieusement arrêtez de sentir le cul du melon ça ne sert à rien ! mimétisme à la con. Un melon on regarde la queue et les craquelures autour. Plus elle se détache et plus la couronne est formée autour plus il est bon à manger. Et ensuite on le retourne et là on tâte doucement le dessous. Plus c'est moue plus il est mûr. Voilà.

Ah aussi toi la demoiselle qui est entrée dans le Monoprix un dimanche matin comme si tu sortais d'un shooting de marie claire... heu... ben... reviens ! mouahaha

le djet lâche, je lâche...

Next battle avec le djet.

Une très belle histoire ni toute blanche ni toute noire, dont vous avez pu déjà admirer un bout d'illustration juste en dessous. Voilà un bout de page donc.

change of time

Où comment appréhender le changement. 

Je me rends compte que changer fait mal quand la réalité prend le dessus sur les idées. Changer c'est accepter de perdre des repères, des habitudes, un cocon, une carapace, ces fameuses zones virtuelles où l'on se réfugie pour se sentir en sécurité. L'incertitude prédomine, les doutes et la peur se mélangent dans un marasme de questions qui prend le pas sur les certitudes des décisions. Pourtant changer c'est aussi accepter de se mettre à nu et de faire face à son propre regard pour avancer dans sa quête de bonheur.  

Ce que l'on souhaitait changer devient le long et douloureux chemin d'une remise en cause à laquelle on ne s'attendait pas forcement. Et ce genre de situation provoque beaucoup beaucoup de remous. On culbute contre les pierres avec l'impression que l'on ne retrouvera plus jamais de stabilité ; Cette lumière qui ne vient toujours pas couplée à une douleur toujours plus présente dans les tripes... où dans les dents ! 

C'est sur le point précis que je réagis en ce moment pour ma part. Étrange et intriguante réaction. 

J'aime faire attention à la vie, aux signes qui ponctuent notre évolution personnelle. Comme vous le savez, je ne laisse pas vraiment de place au hasard et les évènements important de la vie méritent que l'on s'y arrête un peu. D'une part pour comprendre ce qu'il nous arrive puis aussi pour tenter d'avancer plus sereinement. Parfois il vaut mieux vivre sans trop se triturer la tête, mais parfois je dirais qu'il est vraiment intéressant de prendre ce petit temps de réflexion. Une sorte d'équilibre compliqué à obtenir entre action et compréhension. 

Bref revenons aux dents. Ma vie change en ce moment, fortement et violemment  C'est un choix que j'assume et qui fait mal. En parallèle de cette affaire, cela fait un certain que je devais passer chez le dentiste. Les dents sont la symbolique de la force, de la vitalité, de la prise de décision avec cette capacité de que l'on a de mordre dans la vie, de croquer à pleines dents sur nos aspirations, nos rêves, nos actions. C'était donc un peu pourri de mon côté !

Ce qu'il y'a de surprenant dans cette histoire c'est cela : je fais certains choix au moment ou je prends la décision de m'attaquer à ce souci de dents. Découverte chez le dentiste, je ne suis pas très sensible et le mal doit vraiment parvenir à la racine pour ressentir enfin quelque chose. Nous testons donc les soins sans anesthésie... warrior attitude je vous le dis! Et depuis quelques jours je jongle vraiment. Non pas que les soins soient mal réalisés, juste que nous l'avons fait sans anesthésie comme je l'ai souhaité. Ensuite il y'avait bien plus de soins et de traitements que je ne l'imaginais et dont le prix m'a fait froid dans le dos. La encore la grosse mélasse. J'étais seulement venu pour un simple contrôle.  

Et pourtant je vois la chose ainsi. Quelque part j'ai demandé le changement afin d'assainir une situation personnelle et de m'attaquer à ce que j'aurais du faire il y'a un bout de temps. Mais de l'autre ces soins ont un prix et il fait bien mal croyez moi. Sauf qu'en définitive tout sera propre et nettoyé. 

Cette histoire de dentiste m'a vraiment interpellé et réconforté quelque part. 

Quand on s'attaque réellement à un problème et que, pour sa résolution, le changement de situation ou la prise de conscience devient un passage obligatoire destiné à l'évolution d'une situation, il y'a un prix à payer et une douleur inévitable à ressentir. Mais c'est un mal pour un bien. Un peu comme le côté obscure ! Ce mal purifie pour laisser place au bien ! 

Et là fidèle lecteur avisé plein de subtilité et d'imagination prêt à me tomber dessus, tu te dis la même chose que moi depuis le départ de ce billet : Pourquoi n'ais je pas demandé à être anesthésié !

Et oui ! mais c'est tout moi ça :) j'aime savoir pourquoi et comment j'ai mal. Cela me permet de savoir aussi pourquoi et comment je surkiffe quand cela va bien : ) parce que je sais quand une situation fait bobo très fort ! 

Oui c'est du masochisme je vous l'accorde...^^ où alors simplement l'envie de vivre et de ressentir... ce qui implique d'avoir autant de souffrances que de plaisirs.

En un mot, la passion. 

10 juin 2013

Hal 1 dame à Zio.

Oui ce mec me fait triper. Parce qu'il est un des rares auteurs de SF vraiment différent de tout ce que vous pourriez lire actuellement. Parce qu'il ne fait aucune concession, parce qu'il écrit avec ses tripes, parce qu'il voit l'humain avant tout autre considération scénaristique sur ses personnages, parce qu'il fait ressortir la rage et le besoin constant d'évolution pour cette vie qui se morfond en chacun de nous, parce qu'il vous pousse à être meilleur en vers vous même et à parler avec votre coeur pour être libre, debout et fier. Franchement ça c'est un " putain" d'auteur de bouquins ! Je vous laisse juste cette partie de l'interview que j'ai lu aujourd'hui . Ca me donne des frissons quant à son prochain roman !

La finalité de la Horde, c’est d’affronter les éléments contraires pour gagner l’Êxtrême-Amont… ce bout du monde où sont peut-être tapies toutes les réponses à nos questions… Alors, quelle est votre philosophie damasienne, votre Êxtrême-Amont à vous?

"C’est le vif, ou ce que j’appelle dans mon prochain roman, Les Furtifs, le Rouge Ouvert: une manière de vivre debout, à l’écoute et aux aguets, sensitif et présent, en devenant capable d’éprouver l’intensité du vivant dans toutes ses nuances, sa violence et sa tendresse. Se tenir sans cesse dans l’ouvert, apte à recevoir ce qui émerge neuf et nu, ce qui met en mouvement nos façons de voir, de sentir, de penser et d’agir parce qu’une rencontre (avec un livre, un film, un jeu, une femme, un ami, un paysage…) nous sort du familier, du déjà su et du déjà vu, et nous jette au dehors, là où l’on peut apprendre encore et devenir un peu plus grand, un peu plus vaste. Se porter juste à la hauteur de cette dignité magnifique d’être un humain dans ce qu’il aurait de plus vivant, de plus mobile et vibrant. C’est ça mon Êxtrême-Amont. Et j’en suis foutrement loin encore !"

Et vous c'est quoi votre Extrême Amont? ^^ 

ps : pour celles ou ceux qui n'auraient pas compris, je parlais évidement d'Alain Damasio comme le titre l'indique. 

2 juin 2013

Hop next battle encore...

Je ne dis rien, je balance juste l'illustration qui a servi à la création d'un nouveau projet. Je croise les doigts que ça fonctionne.




Soleil de Joue, hein !


Raaaa du soleil deux jours d'affilés ! Que demande le peuple ! oui tient que demande le peuple ?

Le peuple est simple : de la joie, du plaisir, de la Good vibration et surtout Roland GRATOS ! bon à l'heure où j'écris le Gilles Simon qui était bien parti s'est fait remonter par Rodger. 5eme Set engagé. Je vais miser sur le Gilles. J'y crois. Il peut le faire. J'aime cette idée que l'on peut réussir des choses compliquées, difficiles.  J'aime cette idée que rien ne nous est proposé que l'on ne puisse passer. Qu'est ce qui nous bloque au final pour réussir l'impossible ? C'est quoi les embûches qui nous emperchent d'avancer ? Pas grand chose à par nous même et notre propre peur je crois. Là le Gilles, il a juste THE légende en face de lui. Et pourtant il a le regard, l'attitude, la volonté. Il peut le faire...ou Pas. Voilà il a perdu. ^^ j'ai tord, ou pas. 

Ce n'est pas la finalité qui importe mais ce que l'on donne pour y arriver. ( Truc bouddhiste ça ). Le Gilles il avait toutes les armes en main, mais il a craqué alors qu'il maîtrisait son sujet. 

Ca me rappelle quelque part la réalisation de ma première bd. Une montagne. J'avais choisi Joel pour des raisons techniques. Mais encore fallait il qu'il accepte et que mon projet soit aussi pris par un éditeur ! Bref beaucoup d'incertitudes à ce moment la. Vegas prendrait-elle vit ou pas? Je me souviens surtout de mon attitude, c'était à la vie à la mort. Impossible de rater. Soit je mourrais soit je réussissais. Pas d'autre alternative. Dans ces moments là, croyez moi, rien n'y personne ne peut vous arrêter. Vous n'avez aucun doute. L'oeil du tigre de Rocky en sommes ! 

Mouais, j'aime cette idée que l'on peut réussir ce que l'on souhaite malgré toutes les difficultés qui s'opposent à nous. C'est ce que l'on a dans les tripes et la volonté d'y arriver qui feront la différence. Evidemment encore faut savoir ce que l'on veut... Quelque par j'aime à penser aussi que l'on sait pertinemment ce que l'on souhaite. Mais la chose est plus difficile à admettre qu'on ne le pense ( et je suis bien placé pour en parler ). Et puis entre savoir et pouvoir il y'a et... ce qui est déjà beaucoup trop. 

Ok, je ressasse un vieux thème que je ramène souvent sur mon blog, mais je crois que cela à du bon de le rappeler de temps en temps.