12 oct. 2014

New challenger.

Et voilà c'est reparti...

Longtemps que je n'ai pas posté...

pourquoi ?

La vie, les choix, le mouvement, savoir ce que l'on veut, ce qui est bon pour être heureux.

Je me lance toujours des défis, toujours des rêves à atteindre pour vivre tout simplement. Après ça passe ou pas mais au moins il y'a du mouvement.

Et comme dirait Brad Pitt le mouvement c'est la vie.

Je bouge dans je suis pas mal non?

Pour l'heure voilà officiellement, un projet qui va signer...

Un beau projet, une belle histoire qui me tient réellement à coeur.

En avant première l'un des deux persos principaux !



9 juin 2014

Ou comment ça m'énerve.

Une fois n'est pas coutume, point de bd, de slam ou de pensées pour ce nouveau billet, mais la rédaction d'une réaction. 

Je me suis promené sur des blogs suite à la réaction très intelligente d'une blogueuse ayant réagit et traitée à sa manière un sujet qui me touche et qui "touche" : 

Le HARCÈLEMENT. 

Forcement impossible de ne pas réagir à mon tour à la lecture d'une situation qui, en tant qu'homme me donne envie de pousser moi aussi ma gueulante sur ces "autres ". ( Hommes, mecs, ce serait donner trop de valeurs déjà )

Il y'a dans cette nouvelle mode, les graines d'une folie qui me rend " colère ". Colère parce que le droit des femmes semblent s'éroder toujours un peu plus. Colère car l'image des hommes est souillée par ces "autres" frustrés incapables de faire fonctionner autre chose que leurs bites. Colère parce que ce mouvement est de plus en plus accepté et que je n'assiste pas vraiment à une réaction des " hommes ". 

Avant de raconter mon expérience de la semaine dernière, l'idée de prononcer les mots "liberté des femmes" m'effraie comme m'interpelle. Pour info je rappelle rapidement que le droit de votes des femmes date " seulement " de 1944. Cela fait froid dans le dos de s'imaginer que ce petit moment d'histoire est tout proche.  

Je vous vous invite à regarder le lien ci dessous pour vous rendre compte à quel point cette liberté est vraiment très jeune, mais aussi à prendre conscience de la difficulté incroyable de notre société à façonner l'égalité homme femme qui devrait, à mon sens, se traduire par une seule définition : humain.


Alors je ne serais pas aussi fort que les blogueuses qui ont si justement parlé de leurs expériences, mais je ferais part tout de même de la mienne. 

C'était vendredi dernier. Je rentre d'une soirée très sympathique, 2h du mat. Les rues que j'emprunte ne sont pas réputées pour être glauques ni dangereuses. La vie Nantaise a ce petit truc différent une fois le soleil couché, les lumières des lampadaires allumés. Comme j'aime à le dire, le visage de la diversité lancé à la face de la conformité de la journée. 

J'arrive dans la dernière rue avant de parvenir chez moi. Elle longe la gare. Un lieu un peu sulfureux, rien de très dramatique mais suffisant pour être toujours en alerte. On ne sait jamais, même pour un mec et surtout pour quelqu'un dont la taille est plus proche d'un Hobbit que celle de Lebron James.  Bref. Je croise alors le trajet d'une fille. Jolie Brunette, corps élancé, jolies fesses, poitrine généreuse sans l'être trop, du charisme, assumant son côté suicide girl mais pas à outrance. Casque vissé sur les oreilles. 

Je suis humain, fille ou garçon, artiste ou non, mon oeil s'arrête inévitablement dessus. 

_Oh elle est jolie. Ah son look est pas mal. Belle prestance. J'aime bien son corps élancé. Il y'a un quelque chose d'attirant. Son visage ? oh gracieux en plus. 

Voilà. C'est naturel de trouver quelqu'un de beau quand l'ensemble est harmonieux et dans nos critères de goûts. 

Sauf que... 

Tout ceci est resté dans ma tête et n'a pas prit plus de 5 secondes ! ( C'est possible oui d'avoir juste des pensées de 5 secondes en vers la gente féminine ! )

La fille marche rapidement, mouvements saccadés, ne pas traîner dans cette rue. Instinctivement je comprends son attitude. 

Harcèlement, agression possible. 

Instinctivement, je me cale sur son pas et reste en retrait. Je sais ce devant quoi elle va passer. 3 bars un peu chiants ou les attardés de la nuit sont plus disposés à la bêtise qu'autre chose. Je connais le lieu. J'ai un peu bu et je n'ai pas vraiment peur de me battre. Des mecs finissent leurs verres, d'autre plus frais se mettent à regarder la fille. Habituel. Ils regardent. Je l'ai fais aussi. 

Mais voilà j'ai serré légèrement mon poing, me suis tenu prêt au cas ou... au cas ou cette fille n'avait pas le droit de rentrer tranquillement chez elle. Pas de quoi s’inquiéter  Rien de dangereux  Il ne s'est rien passé. Je suis arrivé chez moi, me suis installé devant l'ordi et n'est pas poussé plus loin ma réaction à part simplement : ok j'ai peur de rien... je suis fort ! super ! ( ego quand tu nous tiens ). Je n'ai rien vu d'autre que ma petite décision intérieur de jouer les speudos héros si jamais que... 

Il y'a deux actes fondamentaux dans ma réaction que je n'avais pas compris. A la lueur de la lecture des deux blogs je comprends autre chose maintenant et différemment bien que mon expérience et cette rue ne sont en rien comparable à ce que j'ai lu.

La première. Comme n'importe qui, il est possible de trouver quelqu'un de beau, sympas, agréable à regarder. Mais CA NE RESTE QUE A CELA  ! Je ne suis pas allé agressé la fille sous prétexte que je la trouvais pas mal ! 

_ Oh je vous trouve charmante mademoiselle, on couche ensemble ? hein ? oui hein ! 

ALORS POURQUOI ces putains de connards qui ne peuvent s’empêcher de laisser traîner leurs putains de mains ne sont pas capables de garder leur putain de perversité dans leurs putains de caleçons de merde ! 

La deuxième. Il y'a aussi des mecs capables du contraire à savoir être disponibles pour intervenir si jamais "queue". 

ALORS à tous les "Bastien" ( le nom du coupable cf blog ), j'ai envie de dire : reste chez toi mec, tu n'as rien compris à la vie, à la drague. Et si tu es si frustré que cela ( évidement c'est le cas ) rejette ta merde sur ta propre personnalité incapable de sortir de son petit carcan machiste, celle d'un pauvre type certainement moche, mal dans sa peau, dans sa tête, avec sa bite. Tu me fais honte. C'est avec des gars comme toi, incultes, crétins, incapables de logique féminine, névrosés du sexe, que notre image se dégrade de plus en plus. Et pourtant nous avons encore beaucoup à prouver... 

Si tous les "autres" comme toi n'ont pas compris qu'une femme entière, séduisante, belle, radieuse, apprêtée  et surtout en sécurité est bien plus disposée à vous faire un sourire, je vous invite sérieusement à la fermer pour réfléchir à cette condition de "connards" que vous êtes. 

Hop le lien vers Marion :

Clique ici comme un grand.

Le lien du départ :

Tu peux aussi ici.

Les commentaires. Vous pouvez les insulter ils aiment ça  :

Malheureusement c'est ici.










6 avr. 2014

Soyez honnête monsieur l'arbitre !

Dimanche de merde. Voilà c'est lâché.  Mais comme je le dis, pas de soucis. Je sais qu'après ce jour, un autre verra le soleil se lever à son tour. Et ça j'en suis plus qu'heureux. Mais pour le moment, dimanche de merde, c'est pas très glorieux. 

C'est ainsi. Parfois la vie vous rappelle à sa manière que l'on est en vie avec de la joie mais aussi de la peine. Je n'aime pas cette sensation d'échec. C'est une de mes faiblesses, dur à accepter. L'échec d'une situation, d'un projet, d'une relation. Je déteste cette sensation de raté qui me prend les tripes. Quand je me me lance sur quelque chose, je le fais en conscience. Je suis clair au départ. Je n'aime pas cette idée de tester pour voir et puis on ne sait jamais et puis... non non. "Soyez honnête monsieur l'arbitre !" comme dirait Rémi garde l’entraîneur de L'Ol. Ne vous lancez pas si vous n'êtes pas sûr  de donner le maximum de vous même !

Je crois que dans la vie, que ce soit un coup de balaie ou sortir avec une personne, et bien il faut être présent, être là et le faire du mieux possible. Ne pas tergiverser, attendre, voir avancer reculer. Aucun intérêt  J'aime être à 100% dans ce que je fais, pas à moiter. 

Voilà dimanche de merde, je me suis permis de l'exprimer à ma manière, mon habituel je ne sais pas quoi.  Et demain Enjoy ! Lundi et une semaine bien remplie, genre surprises et petits moments délicieux, j'en suis certain.


Tout ça pour ça.

Y’a des putains de moments qui restent entre les dents. Ça ne se digère pas, ça se coince, ça fait mal, un mélange de merde, de crasse. Putain de connerie qui moisi lentement dans le ventre pour que tu y passes. Putain de moments que tu ne veux pas revivre et pourtant, tellement navrants que ça te dépasse.

Tout ça pour ça.

A quoi ça sert de vivre, de créer, de projeter. Illusion perdue d’une vie à se battre dans le vide, à forcer le destin qui se joue des petits bobos du quotidien. Tu penses musique, une claque, tu réponds au tac au tac, une claque, tu es trop gentil, fallait pas le génie, une claque.
Alors putain ! Putain de merde, tout ça pour ça ! Mais tu te fous de moi ! Tu m’agresses dimanche soir, et la semaine c’est défouloir ? Y’a juste un problème là ! Tu joues à quoi ? J’ai fait quoi !
On n’ouvre pas le coffre à sentiments sans prendre des gants. Soit tu te lances, Soit tu y penses. On ne love pas sur un coup de tête juste parce que l’on a envie. C’est pas une putain de sucrerie ! Je te l’avais dit bordel, je ne fais pas semblant. Si je me lance c’est pour être dans l’infini. Pas faire un pas en avant, quatre en arrière, oh désolé c’était sur le moment !

Tout ça pour ça, dégouté.

J’ai mal ouais. Très mal même. C’est comme ça. Je me suis laissé avoir par ce putain de cœur qui parle trop, qui bouge trop, qui devrait se taire au lieu d’imaginer l’univers. Mais ça évidement, c’est la galère des rêveurs. Sans limite. Tellement pathétique, marre de ce putain de cœur.
Je hais cette tristesse de merde, hurler pendant des années, toujours cette même putain de donnée, se ramasser en beauté,

Tout ça pour ça…

Without with love, where will I be…
Next. 

16 mars 2014

Karma chapitre 8

Hop le nouveau chapitre est en ligne. N'hésitez pas à critiquer !


New challengers !


Vous savez quoi, le printemps bientôt par chez nous ( où alors c'est déjà le cas ) ! le soleil, la vie, les belles nanas, le plaisir, tout ça quoi ! 

J'aime cette notion de plaisir. Je crois que c'est la base pour se sentir bien dans sa vie. Ce piment qui la rend plus simple, ce côté cool qui prendre le dessus sur la difficulté. Et ça c'est funky ! J'aime cet état ou l'on attend rien, on ne projette rien, le seul but étant de prendre son pied à chaque moment. Prendre du plaisir pour nous même, pour les autres, pour que la vie coule d'elle même, pour que notre chemin soit plus humain et surtout cooooooooolllllll, keep the way...

( oui bon tout ça en fait c'est juste pour dire " ne pas se prendre la tête ".. mais il fallait bien écrire un petit paragraphe pour le souligner ). 

Une charmante personne m'a parlé de Kiff cette semaine. J'aime bien cette idée. Le message est simple : prendre chaque jour du plaisir avec des petits moments particuliers, sans prétentions. Parvenir à être heureux avec pas grand chose ! Et après zou ! c'est parti, on laisse couler la vibe ! 

Alors le premier kiff de la journée, c'était ce matin. Levé à 7h, arrivée à l'ouverture du parc au pied de mon immeuble. Le fameux jardin des plantes. J'ai shooté les nouveaux locataires du parc... Je vous laisse les découvrir en photo.